Cartes du web 2.0 et des folksonomies

Je remets à jour mes pages web et notamment les cartes réalisées avec mind manager concernant le web 2.0
Elles se trouvaient sous un autre serveur et ancien hébergeur que je n’utilise plus désormais.
Je n’ai pas le temps de remettre à jour tous mes supports de cours en conséquence si bien qu’il y aura parfois des désagréments et je m’en excuse.
Voici les principales cartes et leurs nouvelles urls, certaines sont complexes mais il suffit de les mettre dans vos signets sociaux préférés.
Web 2.0 : le côté obscur et le côté positif
Historique du web 2.0
Le web 2.0 et l’infopollution
Foksonomies
Petit rappel sinon pour le côté obscur de Facebook.

Généralement, il faut cliquer sur aperçu de la map pour avoir la carte en entier.

Intervention groupe de secteur Saint Brieuc

Voici le support sur lequel je me suis appuyé lors de mon intervention pour les professeurs-documentalistes du groupe de secteur de Saint-Brieuc.

En ce qui concerne les folksonomies, je me suis appuyé sur ce document :
http://www.slideshare.net/oledeuff/folkso
Je remercie encore l’équipe pour l’accueil chaleureux.

Le musée folksonomique

Je viens de découvrir ce musée à la navigation folksonomique grâce à un article sur le blog de Writer Response Theory.
Ce musée constitue une mémoire vivante de la culture afroaméricaine en compilant textes et données apportées par les internautes qui ont ajouté des tags. La navigation s’effectue dans un cadre supérieur qui recalcule à chaque fois la carte des tags suivant nos clics. Une superbe initiative que ce mode de navigation qui permet de découvrir parcours et histoires. Le choix des tags collent d’ailleurs bien à l’objectif du musée. La réalisation technique est effectuée par IBM.
C’est une réussite.

Article Deschamps, Knol, portails netvibes :Diigo express 12/14/2007

L_avenir_des_favoris_a_l_ere_du_web_implicite.pdf (Objet application/pdf)

Article de Christophe Deschamps sur la recherche folksonomique. J’aime bien le terme de folksonaute.

Quid et Knol sont dans un bateau.. – Bloc-notes de Jean-Michel Salaün

Jean Michel Salaun s’interroge également sur Knol et mentionne l’article de Didier Durand sur le sujet.
En clair, les experts seront-ils cupides?

DocSyncer – Synchronize Your Microsoft Office Documents with Your Google Docs Account

Pas mal cette application qui permet d’user de ces documents microsoft sur Google docs.
Cela pourrait devenir fort utile en ce qui me concerne. L’application est encore en bêta privée mais faites une demande et vous pourrez tester vous mêmes le service.

Scottish Library and Information Council (SLIC) < SLAINTE

– a Netvibes Universe

Autre portail réalisé sur netvibes et qui concerne la veille économique et financière

Horizon Sémiologie: toutes les sémiologies

– a Netvibes Universe

Page intéressante d’autant qu’elle peut servir de modèle pour des formations.

appel_carto_20_final.pdf (Objet application/pdf)

L’appel à communication du colloque carto 2.0.

Google Knol: Un concurrent de Wikipedia ?

Il est vrai que Google a désormais les moyens de se payer des experts. Mais un tel système peut-il f fonctionner?

Adscriptor: Facebook ouvre l’architecture de sa plateforme

Facebook s’ouvre dans une logique concurrentielle en cherchant à rester maître malgré tout du sytème à l’instar de Google.

panorama20.pdf (Objet application/pdf)

Travail synthétique sur les outils du web 2.0 pouvant être utilisés en éducation.
On n’évite pas néanmoins le défaut récurrent chez les consultants d’une éducation 2.0 et de la logique de l’outil et de son usage qui est derrière.
En clair, il faut rajouter du Stiegler pour que ces hypomnemata deviennent des milieux associés.

Taguer : c’est bon pour la mémoire!

Le blog d‘augmented social cognition signale dans un billet une étude qui démontre les apports en terme de mémorisation de l’usage de tags notamment ceux qui ont été choisis par l’usager et qui demandent donc une analyse.
L’auteur de l’article a effectué son étude sur une vingtaine de personnes et en a déduit que ceux qui taguaient de manière classique parvenait mieux à mémoriser le contenu du document probablement car ils élaboraient une démarche d’acquisition de savoirs. Ceux qui ont utilisé l’autre système qui permet juste de cliquer sur un mot dans le texte pour le désigner comme tag ont surtout utilisé le tag comme des repères dans le texte. Le second système permet également un gain de temps apparent dans l’indexation folksonomique. Néanmoins le taguage assisté s’avère plus efficace en terme de mémorisation et de compréhension qu’une lecture simple.
Vous pouvez lire l’analyse ici :Augmented Social Cognition: How social tagging appears to affect human memory?
Vous avez également la possibilité de télécharger le preprint.

 

Les moteurs de tags

Je vais donc vous présenter deux applications web 2.0 qui permettent la recherche dans les tags, c’est fameux mots-clés que certains tel Google nomment labels.
Le premier se nomme tagsahoy! évidemment le nom est imprononçable ce qui ne garantit pas son succès. Mais je n’ai retenu que l’idée. En effet ce moteur permet de rechercher parmi vos tags que vous avez éparpillé sur différents services. Hélas pour l’instant, il n’y a que peu de plateformes de reconnus, mais je l’ai testé car il reconnait gmail, del.icio.us, flickr, connotea, librarything et squirl. D’autres devraient suivre. Cela peut-être pertinent lorsque l’on souhaite rassembler l’ensemble de sa documentation mêlant ainsi mails, signets, articles etc.
tagh
L’autre moteur est plus orientée « recherche globale », voire guichet unique et il existe de nombreux concurrents. Son nom n’est guère plus aisé que le précédent, il s’agit de Tagbulb ! image !
Vous pouvez effectuer une recherche sur différents services selon que vous désirez des images, du texte, de l’audio ou de la video,etc.
tagbulb

 

Folkso and co

affordance.info: Succès des foules, société de recommandation et succès d'estime

  • Je ne sais si pas si mon homonyme de la galaxie infodocumentaire aura réussi à convaincre sur l'utilisation des folksonomies, mais il est clair que le phénomène a  pris de l'ampleur.
    Je ne dissocie pas le phénomène du mouvement web 2.0 tant sont articulés personnalisation de l'information, flux rss, collaboration, veille accrue et stratégies d'influence.
    J'aurais l'occasion d'en parler plus amplement lors d'une formation à Poitiers.
    J'ai fini il y a peu de temps d'ailleurs un article sur la tag literacy : faut-il former aux foksonomies ?
    Pour ma part, le volet social bookmarking m'apparait le plus intéressant.
    Faut-il y voir de nouvelles pistes de scientométries du fait d'un lien accru entre site de signets sociaux scientifiques (connotea.org, citulike,etc) et les articles en archives ouvertes?

Folksonomies, Alternatives à Google, yourminis et oeuvres en classe

Statistiques sur les folksonomies [graphique] | Guitef

  • Et oui il faut convaincre à la pratique de la folksonomie.
    C'est ce que je vais essayer de faire au travers de formations cette année.
    L'article de Guitef est intéressant et montre un accroissement de la pratique.
    Il note aussi que cette pratique est plus fréquente suivant le niveau des revenus.
    Cela s'explique sans doute de manière culturelle. En effet les cadres sont plus amenés à partager et à manipuler de l'information que le travailleur qui n'use de son pc et de l'internet que pour des aspects de loisir.


Les 100 alternatives au Dieu Google

  • Un lien intéressant qui nous proposent le top 100 des alternatives à Google.
    Il vous faudra en essayer certains. Je note quand même que ces alternatives ne sont pas des moteurs du même type puisque s'y cotoient dans la liste de réelles alternatives comme exalead et des méthodes de recherche différentes comme les signet sociaux avec deli.cio.us.
    Malgré tout moi même je reste un grand utilisateur de google. Mais les usages évoluent.
    L'essentiel de l'information pertinente que je trouve ne passe pas nécessairement par Google. Néanmoins l'index de Google étant large, j'utilise souvent Google comme raccourci pour accèder à une url. Si vous synchronisez votre  barre d'url avec Google sur firefox c'est un moyen pratique d'accèder directement à l'url que vous voulez. Google devient pour moi un moyen d'accès rapide plus qu'un moteur de recherche d'informations pertinentes.
    La personnalisation de la veille via les flux rss a ses effets. Néanmoins ma page d'accueil perso est sur googlee tout comme mon mail…Enfin je forme plutôt à Netvibes. A ce propos, un nouveau concurrent est sorti :
  • yourminis.com – web minis anywhere

    Le petit dernier des pages d'accueil personnalisés a le look . C'est tentant, mais information et esthétique font-ils bon ménage?
    Je vous laisse tester vous-même, l'information ayant été déjà beaucoup relayée et commentée sur le sujet. Pour certains c'est du buzz, pour d'autres de la redondance voire de l'infopollution. Enfin, si ça peut convaincre un plus large public à l'intérêt des pages d'accueil personnalisées, il faut bien en parler.

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Green Chameleon » How to be a KM Guru #2

  • Article qui explique comment devenir un gourou du Knowledge Management et qui critique le fait qu'il faille l'accompagner d'un discours simplifié, positif voire positiviste.
    Bref il vous faut être dans la lignée du happy end hollywoodien, faire court, être convaincant.
    En clair il vous faut être un publicitaire de vos idées tout simplement au prix d'un appauvrissement intellectuel évident.
    Vu comme ça , cela ne donne pas envie de devenir un gourou du KM. Mais c'est surtout une critique du fonctionnement américain en la matière.
    Enfin en Europe et en France, il n'y pas beaucoup de monde qui connait vraiment ce qu'est le KM.
    Sans doute, n'y-a-t-il pas assez de gourous…
    Pour ma part, je pense qu'il serait intéressant de débattre et d'analyser les évolutions des termes dans la profession.
    Knowledge manager, architécaires ou architectes de l'information?
    Pour ma part j'aime bien la dernière nomination mais je m'interroge sur la disparition du terme document ou documentation.. Pourtant les espaces documentaires demeurent c'est évident.

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Bulletin officiel du 1er février 2007

  • Les accords entre le ministère et les éditeurs pour un montant de 4 millions permettent une utilisation élargie des oeuvres en cours, en cours en ligne, aux sujets d'examen. Voici un extrait :
    Les dimensions des œuvres qui peuvent être numérisées et incorporées dans un travail pédagogique ou de recherche mis en ligne sont précisées pour chaque catégorie :
    pour les livres : 5 pages par travail pédagogique ou de recherche, sans coupure, avec reproduction en intégralité des œuvres des arts visuels qui y figurent, dans la limite maximum de 20 % de la pagination de l’ouvrage. Dans le cas particulier d’un manuel scolaire, l’extrait ne peut excéder 4 pages consécutives, par travail pédagogique ou de recherche, dans la limite de 5 % de la pagination de l’ouvrage par classe et par an ;
    pour la presse : deux articles d’une même parution sans excéder 10 % de la pagination ;
    pour les arts visuels :
    le nombre d’œuvres est limité à 20 œuvres par travail pédagogique ou de recherche mis en ligne. Toute reproduction ou représentation numérique de ces œuvres doit avoir sa définition limitée à 400 x 400 pixels et avoir une résolution de 72 DPI.
    Pour pouvoir bénéficier de l’accord conclu par le ministère, les établissements doivent veiller à ce que les moteurs de recherche de leur réseau permettent l’accès aux travaux pédagogiques ou de recherche, aux colloques, conférences ou séminaires ou aux cours et non un accès direct aux extraits d’œuvres protégées ou éléments isolés (par exemple une photographie, une peinture, une sculpture).
    La mise en ligne de thèses sur le réseau internet est admise en l’absence de toute utilisation commerciale et, le cas échéant, après accord de l’éditeur de la thèse. La mise en lignee devra utiliser un procédé empêchant celui qui consulte la thèse sur internet de télécharger les œuvres qui y sont incorporées.
    La reproduction numérique d’une œuvre doit faire l’objet d’une déclaration pour permettre d’identifier les œuvres ainsi reproduites. Cette déclaration consiste à compléter le formulaire mis en ligne à l’adresse suivante : http://www. cfcopies.com/declaration-enseignement