Le gde Animé : un avatar

Je vais utiliser un petit personnage animé grâce au site meez.com pour illustrer mes billets.
Ce personnage qui est un autre moi, va donc apparaître au gré de mes humeurs sur mes billets, mes diverses interventions et mes cours.

 

Je vais utiliser un petit personnage animé grâce au site meez.com pour illustrer mes billets.

Ce personnage qui est un autre moi, va donc apparaître au gré de mes humeurs sur mes billets, mes diverses interventions et mes cours.

 

 

 

 

Y-at-il vraiment que Gmail qui m’aille ?

Je n’ai plus accès à mes mails depuis plusieurs heures car gmail ne fonctionne plus « temporairement ».
Le temporaire durant, j’avoue être bien embêté et je ne suis pas le seul. D’autres blogueurs s’énervent et sont un peu plus vulgaires. le problème c’est que mon Gmail c’est un peu une partie de ma mémoire, dans le sens où j’y conserve pas mal de documents, de données voire de mots de passe.
Bref, j’en ai maille à partir!
Tout cela peut nous faire réflèchir à un peu de politique fiction : Comment  serait le web si Google n’existait pas ou plus?

On the road again : prévention informationnelle

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Les accidents semblent moins grâves mais les autoroutes de l'information sont parfois dangereuses. La société de l'information est désormais bien en place mais il n'y pas de panneaux qui incitent à la prudence, au ralentissement, au danger, etc.
Les usagers sont persuadés de tout maîtriser en ce domaine, notamment les plus jeunes.
J'entendais d'ailleurs dernièrement des étudiants converser à propos d'une séance de formation de recherche d'information et d'utilisation de la bibliothèque dire : "A quoi ça sert? Tu vas sur Google et puis c'est bon" (sic)
Le problème de l'information literacy et de la formation à la recherche d'information et de son évaluation c'est que tous les usagers sont persuadés de ne pas en avoir besoin. D'ailleurs il n' y a même pas de permis. Vous me direz il y a bien les b2i et les c2i, mais l'accent est plutôt mis sur l'aspect informatique qu' informationnel.
Il est par conséquent difficile de convaincre des étudiants et j'en ai eu la désagréable sensation récemment face à un amphi peu motivé par mon discours.
Faut-il par conséquent faire de la prévention informationnelle et adopté une campagne choc du genre :
"Kévin a copié entièrement son devoir sur un site où les informations étaient fausses : bilan 0/20!"
"Kévina a mis en ligne ses dernières photos de vacances assez dénudées et son agresseur a pu retrouver son lieu d'habitation. Aujourd'hui, elle ne blogue plus, le wi-fi ne fonctionne pas dans le cimetière."
"Gustave apparait complètement ivre sur un site où son nom figure sur la photo. Un employeur potentiel a écarté sa candidature après une simple recherche sur son nom sur Google."
"Thierry a créé son site car il est doué en applications web. Les textes, les images, les photos et vidéos utilisés n'étaient pas libre de droits. Il est poursuivi pour violation de propriété privée."
"Daniella a une réputation pas facile à assumer depuis que circule une vidéo d'elle sur youtube."
"Bertrand a acheté des produits dopants sur un site américain. Il n'a pas lu les notices explicatives par ailleurs écrites en anglais. L'arrêt cardiaque a été fatal."
"Ursula a prétendu qu'elle n'avait rien trouvé sur Internet pour son exposé. Outre le fait qu'elle ne connaissait guère l'utilisation du dictionnaire, son illetrisme ne lui a guère facilité sa recherche."

On peut trouver plein d'histoires dans ce genre véridiques, certaines étant parfois grâves.
Si cela peut sembler un peu extrême, je pense que pour ma prochaine intervention, je n'hésiterai pas à en faire usage car il faut frapper les esprits, n'est-ce pas?

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