Graphe du guide des égarés

Voici à quoi ressemble le graphe du guide des égarés selon le système mis en place par Aharef. J'ai trouvé l'information sur serialmapper qui traite des cartes heuristiques et du mind mapping.

Vous pouvez également tester le système ici. 

Tout cela est bien étrange mais constitue une visualisation de l'information et notamment des balises html 

 

 

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Le Dieu Google poursuit son emprise

La prédominance de Google se poursuit.
faut-il devenir hérétique ou jedi?

 

Le Dieu Google poursuit son entreprise, en ayant bien compris qu’un Dieu doit être partout, chez nous et bientôt peut-être en nous quand nous aurons des puces implantées de manière sous-cutanées ou bien directement dans notre cortex.
Il faut donc des exégètes de cette nouvelle religion qu’est Google qui parvient à nous convertir tous petit à petit. Pour ma part, je suis plus que converti puisque j’écris cet article sur writely qui appartient à google et qui vient de subir un relookage plus conforme au dogme et aux couleurs de la sainte-Eglise du net. Il y a un grand besoin d’analyse alors je me lance une fois de plus dans une quasi introspection.
Google dans sa mission d’évangélisation va également combattre l’illetrisme afin que chaque individu puisse avoir accès à l’information. Je me demande si dans cette noble mission, il ne serait pas temps de recruter. A l’instar des sites marketing du web 2.0, l’usager donnant de son temps et produisant du contenu pour l’enrichissement des autres que sont les grandes entreprises de l’Internet, le missionnaire Google doit travailler gratuitement. Nous pouvons déjà imaginer les dispensaires Google et autres lieux de culte et de remise dans le droit chemin du prochain. Les futurs clarines et cénobites de l’Eglise Google prêcheront les commandements de Google. D’ailleurs qui sait si Google ne cherche pas son Moïse?
« Dieu nous regarde avec les mêmes yeux que nous portons sur lui », c’est à peu près les propos de Maitre Eckart. Je ne sais si nous regardons Google ou si c’est lui qui nous regarde mais il est évident que bientôt il sera impossible de ne pas regarder Google tant son emprise est forte sur le web, et Google nous regardera d’autant plus car il pourra analyser nos traces et données.
Google est bon et ses épigônes sont mauvais?
Je n’en suis pas convaincu. Il faut plaider pour un peu d’hérétisme sans quoi même quand nous écouterons la radio et nous regarderons la télévision, ce sera encore  avec Google comme en témoigne la dernière acquisition de youtube.

Il y a certainement d’autres solutions et médiations, mais les Jedi de l’Internet sont en danger depuis que Google et bien d’autres sont peut-être déjà passés du côté obscur.
Gardez confiance tu dois, dirait Yoda. Je ne sais que faire, mais j’ai l’impression que l’on va finir par disparaître comme les disparus de Saint-Agil dont j’ai revu l’excellente adaptation cinématographique de 1938 il y a peu de temps. D’ailleurs figurez-vous que selon moi George Lucas s’est inspiré du générique de début et que des notes de musique se retrouve dans Starwars. Etonnant, non? Et je ne suis pas le seul à l’avoir remarqué, je le  sais grâce à une prière au Dieu Google qui m’a donné un avis similaire au mien . Non décidemment, ce Dieu est bien meilleur que d’autres, il répond même si parfois certains n’y comprennent rien.

 

maj : et si l’hérétisme, c’était de pouvoir « customiser google »?

Une société hérétique vis à vis du Dieu Google : les chiche-capons   martin-squelette Jedi, ou le triste destin du bibliothécaire après leur mise au ban par l’Eglise Google:

Google : dieu ou diable?

Je m’interroge en effet, finalement ne vaudrait pas mieux le qualifier de diable tant il est séduisant et s’il ne dérobe pas (encore) nos âmes, il parvient à mettre la main sur nos données pour les faire fructifier.
L’action de charité dont je parle sur le GDE a de quoi nous interroger.
Des innitiatives contre le diabolisme de google existe même.

L’ubiquité du Dieu Google : Google veut désormais combattre l’illettrisme!

Le dieu google poursuit son emprise

La pieuvre Google continue d’étendre ses tentacules et c’est fort logiquement qu’elle s’attaque désormais à l’école. Outre l’aspect caritatif revendiqué, il y a surtout l’envie d’aider les populations concernées par l’illettrisme à devenir capables d’utiliser les produits Google.

Dans ce but, les américains se sont associés avec l’Unesco et notamment sa branche sur l’éducation tout au long de la vie ainsi qu’avec Frankfurt Book Fair literacy campaign. (la nouvelle se trouve ici )

L’action semble principalement orienté vers l’Inde, un marché moins concurrentiel que la Chine où Baidu est leader. Peut-être Google  y obtiendra un statut de divinité.

Google travaille ainsi avec planetread   et a mis en place un blog :

When a billion people are illiterate (two-thirds of them women), and nearly half of the world lives on less than $2 a day, we believe it is important to examine the link between literacy and poverty. We are excited by the prospect of helping not hundreds, but millions, of people gain access to regular reading practice and improve literacy where it is needed most by supporting organizations like PlanetRead. – Google.org team

 

En lisant tout cela, j’ai l’impression que Google cherche aussi à concurrencer certains professionnels de l’information. En clair, c’est parce que les programmes d’information literacy  sont encore trop bancales et évidemment peu développés dans les pays émergents, que cela offre une ouverture énorme à Google. Mais il est clair aussi que  ce n’est qu’un début. Si nous ne parvenons pas à faire entrer dans les cursus de manière claire et efficace l’information literacy, cela donnera des clefs supplémentaires pour la domination du géant américain. Le site mis en place n’est pas encore très riche mais ressemble à un portail éducatif.

Quelque part, je trouve  cette initiative peut-être plus dangereuse à terme que google print. Et puis il est beaucoup plus difficile de  critiquer une initiative de ce genre puisque nous ne pouvons qu’en partager les buts. Mais il n’y a jamais de dons gratuits, le potlach implique aussi une domination. Google a compris avec raison que la richesse pouvait se trouver en chaque individu. La force de Google et de d’autres sociétés notamment dites web 2.0 s’est de récupérer la plupart de ces richesses à son compte…

Affaire à suivre, mais qui démontre que nos institutions manquent de visions et d’efficacité…

 

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Le mythe de Cobra

A l’origine, ce texte se trouve sur un vieux site qui date de 2003, voilà l’occasion de le refaire connaitre :

Qui est vraiment, Cobra ? Difficile d’y répondre sans réflèchir un minimum. Un héros, diront certains, sans doute au sens moderne du terme, au sens ancien également, à un détail prêt : les héros sont mortels…et Cobra l’est-il vraiment ? D’aucuns rétorqueront qu’il n’est de toute façon pas né puisque ses aventures se déroulent au XXIVéme siècle. Malgré tout , Cobra semble intemporel, et c’est bien ça qui peut intriguer. J’analyserai les parties essentielles du mythe. S’il fallait vraiment tout analyser, ce serait un travail bien plus long qui nécessiterait un livre. Ce site a pour but de démontrer que Cobra recèle une richesse incomparabale et qu’il peut même nous indiquer la voie à suivre.

 

Le pouvoir de Cobra ne doit pas être uniquement analysé bêtement. Ainsi, le psychogun est une arme extraordinaire qui se trouve quelque peu matérialisée dans le bras gauche de Cobra. Le spectateur ne réflèchit pas et remarque juste que Cobra possède une arme dans son bras et c’est le but afin de ne pas trop déstabiliser les spectateurs. Or, la puissance de Cobra est ailleurs. En effet, l’arme est un psychogun, un pistolet psychique. Il est donc clair que la puissance de Cobra provient de son psychisme, de son mental, ce qui nous est confirmé par le fait que l’arme est dans son bras gauche. Le côté gauche qui renforce encore le côté psychique de l’arme. Mais le côté gauche, c’est aussi le côté obscur, souvenons-nous que gauche se dit sinister en latin : cela signifie qu’il y a un aspect néfaste évident dans cette arme. Effectivement, c’est une arme de mort. La mort pour les ennemis de Cobra. Il est clair que Cobra n’est pas un ange absolu, en fait il serait plutôt luciférien. D’ailleurs, il s’agit peut-être du secret de l’énigme : Cobra semble immortel parce qu’il est lui-même la mort .

Mais Cobra est bien plus que la mort.

 

Une telle énergie ne peut provenir du seul Cobra que nous voyons. Elle vient « d’ailleurs » que de son corps dont on peut percevoir les limites. L’énergie dont dispose Cobra est une énergie dont nous pouvons tous disposer, c’est une énergie libre. Cobra est un personnage global, holistique, il « est ». Ce qu’il faut comprendre, c’est que Cobra est branché en permancnce sur l’énergie disponible, c’est un médiateur, un transmetteur de puissance. On peut se poser alors la question de l’indépendance de Cobra, est-il totalement libre, ou bien n’est-il que la concentration de forces supérieures dont il servirait la cause ?

De même qu’il use de l’énergie du cosmos, Cobra utilise les connaissances universelles de la noosphère, cette sphère des esprits chère à Teillard de Chardin, et dont Pierre Lévy voit l’accomplissement dans le développement du web. Cobra est donc bel et bien un personnage universel. Universel car l’action se déroule dans l’univers et pas seulement sur Terre.


 

Cobra, chantre de l’universalisme français.

Universel aussi car ses origines humaines viennent du pays où est issu la conception de l’universalisme : la France. En effet, Cobra est quelque peu français. Le dessinateur Buichi Teraswa a pris modèle sur Jean Paul Belmondo pour créer Cobra. La ressemblance est évidente au niveau du visage, mais ailleurs aussi. Cobra est un séducteur, genre french lover, quelque peu macho mais n’en demeurant pas moins romantique. Autre trait bien français, celui de l’insatisfait perpétuel et du révolté. Cobra s’inscrit en faux contre une société qui lui déplaît et cherche à y remédier. Dans ce désir utopique, Cobra rejoint Albator, le corsaire de l’espace, lui aussi également français quoique certainement un peu anglais si on pense aux flibustiers.On retrouve encore un autre trait bien français chez Cobra, la prétention de se croire invincible, de penser être le meilleur et de pouvoir tout améliorer. Malgré tout, Cobra a beau s’atteller à une tâche sérieuse, il n’en reste pas moins plein d’humour et demeure imprévisible. Si on regarde bien, Cobra est l’achétype du français idéal dans sa quête de l’universalisme. C’est ici que Cobra devient un héros, et c’est peut être le point le plus inquiétant : il sembre que sa quête soit interminable, impossible à établir. Cobra serait donc le sysyphe de la liberté, il ne peut mourir, mais sa cause ne peut triompher totalement. Ce qui est d’autant plus inquiétant, ce que Cobra est seul, quelques alliés ici ou là,mais surtout sa principale aide émane d’une humanoïde dont on perçoit l’ancienne humanité. Si franchouillard que vous êtes, vous avez gonflé le torse en lisant que Cobra est un peu français, je suis au regret de vous informer que la France ne représente plus grand chose dans l’univers qui entoure Cobra. En effet, l’anglais domine et l’influence française semble faible lorsque l’on perçoit l’impuissance de la police de l’espace, instance supranationale par excellence. C’est dire que la France idéale n’a plus qu’un seul représentant qui n’est finalement « qu’un emmerdeur français ». Faut-il comprendre que le rôle de la France n’est plus que que de proposer l’utopie et de tenter de s’imposer aux forces qui veulent tout contrôler.

Pas de quoi donc être cocardier ! Mais ce n’est pas un drame, c’est justement en comprenant qu’il faut au français devenir cosmopolite qu’il parviendra à imposer le paradoxe de l’universalisme français. Tout le monde deviendra alors français c’est à dire universel. En effet, nous sommes tous enclins à supporter Cobra dans son combat, c’est dire qu’il n’est pas vraiment seul… Je l’ai dit précedemment, Cobra est branché sur la noosphère, la sphère des esprits. Tout reste donc possible.

 

Mais il y a d’autres inquiétudes, Cobra est assurément un surhomme, mais il en est pas moins un homme. Or, sa principale alliée est une humanoïde…qui semble d’ailleurs très humaine. Ce qui est angoissant, c’est que l’intelligence ne puisse plus être seulement humaine. Jean Michel Truong défend l’idée que l’intelligence n’est d’ailleurs pas humaine et qu’elle est indépendante de lui et qu’elle quittera l’Homme quand ce dernier l’aura aidée à migrer vers un support plus solide et plus facilement exportable. C’est peut être bien la disparition de l’humanité qui se profile en fait.

 

Le mythe du roi caché.

 

Mais il reste l’espoir, il reste Cobra. C’est ici que l’universalisme républicain trouve son paradoxe, un paradoxe bien français. Il ne reste plus que l’unique, or l’un renvoie à dieu, au roi. C’est ici un autre mythe qu’il convient d’analyser: le mythe du grand monarque. Le mythe du roi caché, du roi mystère dont on a perdu la lignée supérieure et qui reviendra sauver l’humanité quand elle sera en danger. Ce mythe est souvent chrétien, d’ailleurs ne voit-on pas Cobra se rendre dans une Eglise ? Certes sans grande conviction, il baille, il montre sans doute à Dieu que la mission qui lui incombe le fatigue, d’où l’idée du Sysyphe de la liberté. Cobra a des pouvoirs supérieurs, est-il issu d’une lignée royale ? Est-il le possesseur du graal ?

Dans la chanson du générique français, on entend « et votre roi est là, et votre roi c’est Cobra ». L’auteur de ces paroles est un étrange Paul Persavon plus connu sous le nom d’Antoine de Caunes. Volontairement ou non, cette phrase explique qui est Cobra. C’est le Roi universel à la (re)conquête de son royaume. Un roi, pensez-vous alors, n’est ce pas en contradiction à l’idée de liberté et d’universalisme républicain ?

Effectivement ! Vous vous dîtes qu’un roi ne peut être démocrate. Il y a au moins contradiction dans les termes,mais il existe des personnalités royales bien plus ouvertes à la démocratie. Mais la réponse n’est pas là. Comme je l’ai écrit récemment sur un autre site, le ROI, c’est le Reséau d’Organisation de l’Information. C’est à dire que le ROI est ce qui nous relie tous, ce qui nous unifie en quelque sorte, c’est la somme de nos intelligences collectives, bref le roi c’est nous, c’est pouquoi le ROI est démocrate. Il ne faut donc plus voir Cobra comme un être isolé mais au contraire comme l’unification de notre intelligence collective. Cobra n’est pas seul, tout n’est donc pas perdu…au contraire…Cobra, c’est vous, c’est moi, c’est nous oeuvrant dans un même but.

 

 

Si vous avez lu ce qui précède, nul besoin de vous expliquer cette image issue du générique :

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e recherche un lecteur de livres électroniques

Appel à sponsor…

Ce message diffère d’un peu des habituels puisqu’il s’agit en quelque sorte d’une requête.
Je dois chaque jour lire des tonnes de documents à la fois pour mon travail et également pour ma thèse. La plupart sont en pdf, rtf ou doc et je ne souhaite pas les imprimer sans quoi mon travail ressemblerait à une déforestation lamentable, même si les papetiers assureraient qu’ils replantent plus d’arbres qu’ils n’en coupent.
L’idéal serait que je dispose d’un lecteur de livres électroniques ou reader qui me permettrait de télécharger tout  cela et de pouvoir les lire peut-être de manière plus confortable que  sur l’écran de mon pc.
Le seul problème c’est que je n’ai pas les moyens d’en acheter un d’une part et de l’autre que je ne sais nullement lequel me conviendrait le mieux.
De plus la plupart de ces outils ne sont pas commercialisés en France.
J’en appelle donc aux âmes généreuses et aux sponsors qui voudraient me prêter  (m’offrir ?) une de leurs machines qui pourrait m’être fort utile et que je pourrais par conséquent tester.
Je pourrais ensuite faire part de mes observations au constructeur et en parler ici surtout si j’en suis satisfait.
Mes usages ne concerneraient donc pas uniquement les romans voire les mangas et BD mais  bel et bien une diversité de documents qui vont du texte scientifique à la brochure institutionnelle en passant par un texte d’expérimentation pédagogique.