Voici le diaporama utilisé durant mon intervention au séminaire ALMA à Angers à l’invitation de Patrice Marcilloux
Mois : décembre 2011
Appel à publications. « La dimension éducative du document numérique »
Je fais du buzz autour de cet appel à publications pour un numéro de Document Numérique que j’ai la chance de diriger autour de la thématique suivante :
« La dimension éducative du document numérique ».
Si vous êtes intéressé, la deadline est le 15 mars 2012.
Thématique
Ce numéro cherche à mettre en avant les dimensions pédagogiques du document numérique tant au niveau institutionnel (pédagogie en ligne, utilisation du document numérique en présentiel et à distance) qu’au niveau plus informel dans des pratiques d’autoformation notamment. L’utilisation des documents numériques devient de plus en plus fréquente mais les usages, les pratiques varient selon les supports, les formats et les lieux d’utilisation. Ce numéro souhaite donc développer les différents types de relations sociotechniques qui existent entre le document numérique et les enseignants et apprenants.
Objectif
Quels sont donc les méthodes, langages et médiations mis en œuvre pour conférer une valeur pédagogique au document numérique ? En quoi un document peut-il avoir une valeur éducative et comment s’opère cette relation ? Quelle culture technique et informationnelle est alors nécessaire ?
Nous recherchons aussi bien des études d’usage auprès d’enseignants, d’étudiants et d’utilisateurs que des analyses théoriques à partir de données voire de méthodes pédagogiques. Nous accorderons un intérêt particulier pour des études autour des pratiques d’autoformation via des dispositifs en ligne qui ne soient pas initialement dédiés à l’apprentissage comme le sont par exemple les réseaux de loisirs créatifs (Le Deuff, 2010). L’étude de communautés comme celle des hackers ( Auray, 2002) qui utilisent le document numérique à des fins d’échanges et de progression et d’amélioration en vue d’un objectif commun tout en facilitant l’amélioration de ses connaissances personnelles constituent des pistes intéressantes en ce qui concerne l’accès au savoir.
Quelles sont dès lors les mécanismes liées à la motivation (Fenouillet, Carré, 2008) qui permettent de répondre favorablement aux différents besoins de formation et d’information ?
Les travaux autour des stratégies pour inclure ou « engrammer » une progression et stratégie didactique au sein du document sont vivement souhaités dans ce cadre. Les méthodes de description de la valeur et du contenu pédagogique sont également les bienvenues. La question de l’évolution, des différentes versions qu’un document numérique (redocumentarisation) peut connaitre, de sa pérennité ainsi que celle de son archivage en tant que mémoire éducative pourra aussi être développée.
Le numéro cherche à montrer comment le document numérique évolue dans sa dimension éducative et comment il peut s’intégrer dans les formations et notamment quel peut être sa part au sein d’une culture de l’information et des médias de plus en plus influencée par des environnements numériques.
Dans ce numéro nous souhaitons investir les thèmes suivants (liste non exhaustive) :
– Aspects théoriques autour des aspects éducatifs, pédagogiques et didactiques des documents numériques
– Langages et métadonnées pour la description des ressources pédagogiques
– Granularité du document numérique pour l’enseignement
– Usages du document numérique comme support pédagogique pour les enseignants
– Usages du document numérique par les étudiants et les élèves
– Types et méthodes de production de documents numériques à valeur pédagogique
– Identification, évolution et pérennité du document numérique.
– Apprentissage en ligne via des documents dédiés
– Autoformation via des supports numériques divers (forums, vidéos, plans, patrons, échanges et explications sur des forums, réseaux sociaux numériques, réseaux sociaux thématiques)
– Formation au document numérique et culture de l’information
– Méthodes et apprentissage de la redocumentarisation.
– Apport du web sémantique à l’usage éducatif du document
Références
AURAY, Nicolas. Ethos technicien et information. Simondon reconfiguré par les hackers. In Jacques ROUX. (sous la dir. de). Gilbert Simondon, Une pensée opérative. Publications de l’Université de Saint Etienne, 2002
FENOUILLET, Fabien, CARRE,P. Traité de psychologie de la motivation – Théorie et Pratiques. Dunod, 2008
LE DEUFF, Olivier. « Réseaux de loisirs créatifs et nouveaux mode d’apprentissage», Distances et savoirs. Vol.8, n°4, 2010,p.601-621
Comité de rédaction du numéro
– Bruno Bachimont, Directeur à la Recherche, Université de Technologie de Compiègne
– Eric Delamotte, Professeur en Sic, Université de Rouen
– Stéphane Caro, Professeur en Sic. Université de Bordeaux 3
– Alexandre Coutant, MCF, Université de Franche Comté
– Milad Doueihi, Professeur, chaire culture numérique, Université Laval à Québec
– Olivier Ertzscheid, MCF en Sic, Université de Nantes
– Fabien Fenouillet, MCF en psychologie, Paris Nanterre
– Yves Chevalier, Professeur émerite, Université de Bretagne Sud
– Anne Cordier, Ater en sic, Université de Rouen
– Cédric Fluckiger, MCF en sciences de l’éducation, Université Lille 3
– Divina Frau-Meigs, Professeur, Université Paris Sorbonne 3
– Gabriel Gallezot, MCF en Sic, Université de Nice
– Thierry Karsenti, Professeur, Université de Montréal
– Jacques Kernéis, Docteur en sciences de l’éducation, Iufm de Bretagne
– Brigitte Juanals, MCF en Sic, Paris 8
– Pierre Lévy, Professeur, chaire d’intelligence collective, Université d’Ottawa
– Louise Merzeau, MCF, Université Paris Ouest Nanterre
– Jean Paul Pinte, MCF, Université Catholique de Lille
– Stéphanie Pouchot, MCF, Université de Lyon 1
– Alexandre Serres, MCF en Sic, Université Rennes 2
Calendrier
– date limite remise contributions : 15/03/2012
– réponse aux auteurs : 15/05/2012
– version finale auteurs : 30/06/2012
– livraison éditeur : 15/09/2011
– parution du numéro spécial : fin 2012
L’éditeur et la revue : www.dn.revuesonline.com
Recommandations aux auteurs
- Les soumissions sont à envoyer à Olivier Le Deuff (coordonnées ci-dessous) et devront respecter la feuille de style de la revue disponible sur le serveur www.e-revues.Lavoisier.fr (ou sur demande à : dn@lavoisier.fr)
- Les articles ne devront pas dépasser les 20-30 pages. Ils sont acceptés en français (ou en anglais pour les auteurs non francophones).
- les soumissions peuvent être envoyées sous forme de fichiers PDF (de préférence).
- les versions finales seront acceptées sous format word ou PDF. Dans ce dernier cas, les corrections ortho-typographiques seront faites par les auteurs à la demande de l’éditeur.
Contact
Olivier Le Deuff, MCF en Sic, Université de Bordeaux 3.
Adresse : Iut Montaigne. Université de Bordeaux 3.
1, rue Jacques Ellul. 33800 Bordeaux
Tél. : 05.35.38.46.90
e-mail : oledeuff@gmail.com
La culture de l’information en 7 leçons. E01 : La culture de l’information, bien plus qu’une mode.
La culture de l’information ne peut être considérée comme une tendance passagère.
L’objectif de notre recherche doctorale était de parvenir à distinguer, parmi les discours et les articles, des éléments pour tenter d’apporter des éclaircissements sur une expression qui est utilisée dans différents domaines professionnels et parfois de manière opposée.
Il y avait donc un danger, celui d’ajouter à la somme des discours, un autre qui soit aussi vague et aussi péremptoire que les affirmations de la société de l’information. Nous avons vu à plusieurs reprises que les textes sur la formation à l’information opèrent parfois des rapprochements avec les expressions « société de l’information », « web 2.0 » et « digital natives ». On ne peut éviter leur examen.
Placer la culture de l’information dans la logique de la société de l’information ainsi que dans l’optique d’une évolution nécessairement web 2.0, marquant l’avènement de générations natives du numérique, ne pourrait laisser la culture de l’information que dans une position de simple tendance, un peu vide, qui finirait par disparaître avec son cortège d’expressions passagères. Une disparition inéluctable d’autant que la culture de l’information n’apparaitrait dans ce cadre que comme une subordination à une logique qui ferait de la formation à l’information un plus, un avantage possédé par les uns par rapport à d’autres et ce dans une logique d’adaptation.
Nous décrivons donc la culture de l’information, non comme une simple tendance, mais davantage comme une « permanence », en retraçant sa généalogie. Cela nécessitait d’aller au-delà de la généalogie récente, celle qui cherche l’apparition du mot. Elle ne pouvait être entièrement satisfaisante d’autant que la culture de l’information s’appuie sur des héritages et des éléments qui ne sont pas totalement nouveaux.
La culture de l’information s’appuie ainsi sur plusieurs « permanences » :
- Celle du texte et de la littératie, tant perdure la nécessité de lire face à une diversité de sources et de données sur différents types de supports. Le lecteur devient cependant de plus en plus auteur dans un mélange complexe qui fait de lui un écritlecteur. La culture de l’information ne peut opérer sans l’apprentissage de ces techniques que sont la lecture et l’écriture.
- Celle de l’héritage documentaire et de ses nombreuses avancées opérées par les pionniers de la documentation dans la lignée du développement de la science. Il s’agit des logiques de classements, des tentatives de découper le monde afin de le comprendre. Même si ces techniques évoluent continuellement face à la complexité du document numérique et l’accroissement des données à traiter, la culture de l’information constitue également une archéologie des savoirs en incitant au tri, au choix, à créer du sens afin que toutes les choses dites ne s’amassent pas indéfiniment dans une multitude amorphe.[1]
- Celle de la technique comme condition de la pensée et comme culture opérationnelle. La culture de l’information repose sur des techniques, des hypomnemata comme supports de mémoire et acteurs constitutifs de la pensée et du savoir. Elle prend en compte l’objet technique et s’inscrit de fait dans une culture technique qui vise à une compréhension de l’objet technique, et non à un simple usage ou à une mythification de cette dernière.
- Celle historique des Lumières. Cette dimension avait été déjà abordée par Brigitte Juanals. Nous avons fait le choix de la développer en montrant qu’elle trouve des parallèles évidents avec la culture technique, notamment dans les planches et autres explications détaillées de l’Encyclopédie, qui permettaient au citoyen éclairé, de refaire et de mieux faire. L’autre dimension des Lumières provient de l’exercice de la citoyenneté, du courage et de l’effort d’user de son entendement comme le recommande Emmanuel Kant.
Ces permanences peuvent évidemment être recoupées. La première relation évidente est celle de la formation et de l’éducation. Elle se retrouve évidemment dans l’apprentissage de la lecture et de l’écriture, mais également dans le volet pédagogique de la documentation, présent d’ailleurs dans l’étymologie du mot document. De même, en ce qui concerne la culture technique, elle demande une démarche de formation, dépassant la seule logique de l’usage pour aller vers celui de l’abstraction et de l’innovation. Il s’agit non seulement d’apprendre mais surtout de comprendre.
Nous souhaitons également rappelé que la technique est constituante de la pensée et de l’apprentissage et que c’est justement la maîtrise de ces techniques qui conditionne l’accès à la majorité. Une majorité qui est à la fois technique et citoyenne et qui peut se définir comme étant la capacité à avoir une vue d’ensemble, à la fois en s’extrayant par moment « au dessus de la mêlée »[2].
Certes, malgré le constat de ces permanences et héritages, il faut peut-être distinguer l’expression « culture de l’information » et ce qu’elle recouvre vraiment. Pour le dire familièrement, le contenu du pot prime sur l’étiquette. D’autres expressions peuvent à nouveau émerger avec des objectifs proches. Cependant, il nous semble qu’il y a un risque fort à cette valse des étiquettes, celui d’entrer dans des logiques proches du marketing, générateurs tout autant de discours que de bons sentiments mais n’aboutissant pas à de réelles actions.
Dans cette diversité d’expressions proches, celle de culture de l’information conserve notre préférence. Outre le travail scientifique amorcé par plusieurs chercheurs en sciences de l’information et de la communication et notamment celui de Brigitte Juanals, l’expression de culture de l’information possède des atouts . Nous songeons notamment aux distinctions que nous avons effectuées avec la culture informationnelle et aux rapprochements entre culture et littératie afin de voir la culture de l’information comme une traduction-évasion (une trahison nécessaire) d’information literacy et comme développement de sa conception citoyenne.
Par conséquent, nous ne partageons pas tout à fait l’idée qu’évoque Brigitte Juanals[3] d’un passage d’une culture de l’information à une intelligence informationnelle qui se rapporte surtout à l’échelon individuel. De plus, le terme d’intelligence nous semble un territoire d’expression qui implique sans cesse la distinction tandis que sa dimension collective, que consacre l’expression d’intelligence collective, demeure toujours quelque peu utopique.
La durabilité d’un projet et d’un concept s’inscrit autant dans l’analyse de ses origines et de ses permanences que dans les enjeux actuels et futurs. Il ne s’agit pas de répondre seulement à des problèmes actuels sous peine d’élaborer des pansements intellectuels et éducatifs, des cache-misères, de simples pharmaka utiles dans un laps de temps restreint et qui finissent par accroître le problème au final.
Voilà pourquoi nous avons à plusieurs reprises dénoncé les visions reposant sur l’apprentissage superficiel d’outils étant amenés à évoluer voire à être remplacés par d’autres.
Au regard de ces « permanences », la culture de l’information apparaît comme une culture globale. Il convient également de s’interroger sur ces spécificités.
La culture de l’information en 7 leçons. (teaser)
Redocumentarisation oblige, j’introduis ici une série de 8 billets issus de ma thèse. Je vais donc décliner dans les prochaines semaines, ses 7 leçons ou piliers de la culture de l’information.
Les voici :
• [E01] La culture de l’information est plus qu’une simple mode et repose sur des héritages et des éléments qui l’inscrivent dans la durée.
• [E02] La culture de l’information ne peut se concevoir de manière uniforme mais cherche à reposer sur des éléments communs. Elle présente toutefois des spécificités qui permettent d’envisager la mise en place de formations dédiées.
• [E03] La culture de l’information repose sur le développement d’une dimension citoyenne quelque peu négligée par l’information literacy. D’ailleurs, le parallèle information literacy/culture de l’information, que nous avons effectué dissimule néanmoins des oppositions de taille, notamment celui de l’adéquation à une société de l’information dont témoigne d’ailleurs l’obsession de la mesure de son efficacité et le retour sur investissement.
• [E04] La culture de l’information suppose une rationalisation des savoirs à transmettre afin de sortir de l’impression constante de « bricolage » ressentie par beaucoup d’acteurs de terrain. La didactique de l’information constitue une démarche plus cohérente et mieux inscrite scientifiquement pour envisager une formation de qualité notamment dans l’enseignement secondaire.
• [E05] La culture de l’information repense les aspects de la formation liés à l’information. L’information ne peut néanmoins être considérée sous le seul schème hylémorphique et encore moins comme un simple flux. Elle intègre la complexité de l’objet technique et la constitution de milieux associés dans la réalisation de la formation. De manière opposée, elle permet de comprendre et d’analyser la déformation comme phénomène inverse de l’information.
• [E06] La culture de l’information est une culture technique au sens de Simondon. Elle implique un statut de majorité vis-à-vis des objets techniques qui va au-delà du simple usage.
• [E07] La question du contrôle n’est pas celle de l’homme sur la machine, ni de la machine sur l’homme mais davantage celle du contrôle de soi, qui se manifeste dans la différence et la capacité à différer et à opérer une distance critique. Cette différence se manifeste par l’exercice de la skholé ou capacité à porter son attention.
Education et réseaux sociaux in Séminaire Réseaux Sociaux, ISCC, S02E01
Un petit aperçu de mon document support de l’intervention de lundi dans le cadre du séminaire de l’ISCC, saison 2 E01 Merci encore aux scénaristes, Alexandre Coutant et Thomas Stenger !
Intervention au séminaire « Médias sociaux et Education » Lundi 5 décembre à Paris (MSCI)
Je passe un message pour signaler ma présence dans un séminaire où il sera question de médias sociaux, de réseaux sociaux, d’identité numérique et de leurs rapports avec l’éducation.
J’y interviendrai dans la lignée de l’article que j’avais publié dans Hermès.
Voici la description de l’évènement, en espérant vous y retrouver.
Intervenants
Julien Pierre, « Usages et perceptions des réseaux socionumériques »
Julien Pierre est doctorant au laboratoire GRESEC de Grenoble. Sa thèse porte sur « l’industrialisation de l’espace anecdotique : pratiques, usages et enjeux des identités numériques ». Il est par ailleurs fondateur et rédacteur du carnet de recherche en ligne Les identités numériques.
Quelle place occupent les réseaux socionumériques dans l’apprentissage de la vie adulte ? Cette présentation s’inscrit dans un double parcours : celui d’une recherche doctorale en SIC, et celui d’une expérience de 12 ans en tant que formateur en BTS Tertiaires. S’interrogeant sur les pressions vécues par une population en apprentissage d’autonomie, nous avons interrogé l’engagement de ces jeunes adultes dans les dispositifs de socialisation en ligne : s’agit-il d’une échappatoire ou d’une nouvelle forme de pression ? Pour cela, nous avons administré en ligne un questionnaire, complété par des entretiens semi-directifs ou informels du fait de notre immersion dans la population cible. Après avoir présenté la méthodologie (et ses biais), nous pourrons comparer d’abord les usages des RSN selon différentes grappes. Ensuite, nous verrons à partir d’une série d’indicateurs (autonomie, surveillance, addiction, etc.) dans quelles mesures se reproduisent les pratiques professionnelles dans la socialisation médiatisée par ordinateur.
Olivier le Deuff, « Quels réseaux sociaux pour l’éducation ? »
Olivier le Deuff est enseignant-chercheur au laboratoire Mica, Université de Bordeaux 3. Il est fondateur et rédacteur du blog Le guide des égarés consacré à la culture de l’information.
Les réseaux sociaux ne sont pas des supports d’apprentissage traditionnel mais ils constituent des moyens d’apprendre à s’intégrer au groupe, comme l’ont montré notamment les travaux de Danah Boyd (Boyd, 2008). Toutefois, l’apprentissage par les usages des réseaux sociaux est insuffisant, contrairement à ce que prétendent les discours autour des digital natives. Ces diverses plateformes possèdent des atouts en matière de formation à condition de ne pas se cantonner aux seuls réseaux sociaux numériques. Nous distinguons ici plusieurs types de réseaux dont nous souhaitons montrer les potentialités éducatives.
Informations pratiques
Le séminaire est ouvert à toute personne intéressée par les enjeux associés aux identités numériques – chercheurs, praticiens, enseignants, militants… – et désireuse de s’enrichir des différentes approches de cet objet complexe !
Inscription gratuite mais demandée pour des raisons d’organisation auprès de Alexandre Coutant et Thomas Stenger.
Lundi 5 décembre 2011, 14h30 à 17h
Maison des sciences de la communication et de l’interdisciplinarité (MSCI)
20 rue Berbier-du-Mets, Paris 13e
Métro 7, Les Gobelins