Antidote 9, quoi de neuf docteur? Nine is better for your mind !

Je suis testeur de la nouvelle version d’Antidote 9 suite à mon précèdent billet. Soyons clair, cette nouvelle version m’a été offerte par l’éditeur, qui m’a d ‘ailleurs fait une présentation fort intéressante en ligne. Je l’utilise avec plaisir depuis quelques mois. Le logiciel a connu quelques améliorations au niveau outils et interfaces, mais le grand changement est bien sûr l’arrivée de la version pour l’anglais. Et ce n’est pas un luxe, non pas que j’écrive beaucoup en anglais, mais quand ça m’arrive… j’ai toujours plein de doutes…

Du coup, Antidote dans sa version anglaise est encore plus utile que dans sa version française, et pour cause : vous allez probablement utiliser davantage de fonctionnalités qu’en français, et notamment toute la série de dictionnaires qu’on peut négliger parfois lorsqu’on estime qu’on a une bonne maîtrise du français. Or en anglais, dès que vous écrivez, vous craignez sans cesse de faire des erreurs de sens. Dans ce cadre Antidote va justement vous soigner comme il faut, car vous allez pouvoir d’un clic, vérifier si le mot que vous utilisez est vraiment approprié, s’il n’est pas un faux-ami, quels sont ses principaux sens, etc. Bref, c’est ici que l’outil devient vraiment opportun, c’est qu’il va éviter vos blocages dans la rédaction. Très souvent lorsque je rédige en anglais, j’ai tendance à vérifier que l’usage du mot que je fais est correct en utilisant Google. Si je trouve des phrases qui semblent conforter ma manière de rédiger, je conserve la formulation, dans le cas contraire, je me mets à douter et je change. Antidote 09 va me permettre de diminuer cette pratique. Étrangement d’ailleurs, il a pour l’instant plutôt tendance à confirmer ce que j’avais tendance à écrire, ce qui m’enlève le poids de l’incertitude, ce qui n’est pas une mince affaire.

Le logiciel permet également de gérer le double langage dans un texte et donc peut corriger aussi bien l’anglais et le français. Volontairement, j’ai glissé un petit passage en anglais dans ce billet :

Antidote 10 is an excellent tool for knowledge workers and researchers who need to write professional or scientific documents. You can use it to check if your English is correct. When I have to write in English, I’m often full of  doubts and I’m not always sure if my sentence is correct or not. With the software, I can see if the words I use are free of errors or not. So, Antidote gives me more trust when I write in English. I don’t need to spend too much time on Google to type request with the expression that I’m not convinced they are accurate. I can use all the Antidote tools for that, above all the dictionaries. I hope to ameliorate my  style of writing with the use of Antidote.

Le logiciel détecte d’ailleurs les proportions et signale les langues de façon distincte.double langage

détection du ratio anglais/français
détection du ratio anglais/français

Du coup, la partie dictionnaire devient un must, car je prends plaisir à l’utiliser alors qu’en français, j’ai tendance à la négliger complètement sauf cas exceptionnel.

Du coup, le logiciel devient également un très bon outil d’apprentissage de l’anglais si on prend soin d’utiliser les fonctionnalités du dictionnaire. Sur ce point, le fait de pouvoir basculer sur la partie dictionnaire est plus efficace que de devoir faire une requête sur un moteur de recherche, et plus rapide que d’ouvrir un outil papier. Dictionnaire antidote 9L’outil peut donc s’avérer fort opportun pour un apprentissage de la langue, d’autant qu’il rapproche la consultation des dictionnaires de la rédaction. Finalement, que ce soit pour un novice ou pour un expert, le logiciel me semble très intéressant. De là à dire que l’outil pourrait également intéresser les traducteurs professionnels ou non, il n’y a qu’un pas.

Comme je l’avais également dit précédemment, Antidote requiert une forme d’apprentissage de façon à l’utiliser de façon personnelle et selon ses besoins. Je pense également qu’il pourrait s’avérer propice pour améliorer ses performances d’écriture en anglais, pour peu qu’on sache effectivement trouver la manière de l’utiliser de façon à ce qu’il s’intègre dans sa pratique d’écriture.

Bref, un outil qui prend place de plus en plus dans ma panoplie d’outils de travailleur du savoir. Indispensable depuis que j’en ai fait l’acquisition. La dernière version m’apporte des fonctionnalités opportunes pour gérer désormais l’anglais également. Le produit reste sans doute un produit de luxe (108 euros sur amazon par exemple), mais il s’avère bien utile au quotidien, surtout si vous écrivez souvent ou que vous produisez des documents en masse. Je suis par exemple adepte de la correction typographique automatique.

Antidote, mon pharmakon

Cela fait quelques années que j’utilise l’outil Antidote  pour donner suite aux conseils de mes différents éditeurs, afin de pouvoir effectuer plusieurs corrections sur mes textes. On me reprochait souvent des textes un peu trop bruts, et pas assez travaillés pour mériter une première lecture corrective. Certains éditeurs m’envoyaient même des exports pour me montrer les endroits où cela posait problème. Du coup, j’ai fini par l’adopter. Cela fait bien longtemps que je voulais en parler, mais j’ai sans cesse reporté ce moment. Je pense que ça inaugure une série de billets sur des outils que j’utilise régulièrement. La plupart sont gratuits ou open source, mais je commence au final par une exception avec un outil payant.
En premier lieu, l’outil est très pratique en matière orthographique et plus puissant que les outils intégrés généralement aux traitements de texte. Antidote se couple à la plupart de vos logiciels, y compris les messageries du web, ce qui en fait un outil mobilisable régulièrement. On peut aussi utiliser l’outil sur plusieurs ordinateurs familiaux. Je ne sais pas si c’est le cas dans la dernière version, mais il me semble qu’on peut le mettre à disposition sur trois machines. Il faut aussi vérifier la compatibilité système et logiciels qui peut être parfois difficile si on travaille sous Linux par exemple avec les versions récentes.
Je l’utile principalement dans sa fonction corrective en ce qui concerne l’orthographe, mais je l’utilise aussi en pour l’ensemble des aspects typographie ce qui s’avère très pratique. Si je considère Antidote comme un pharmakon, c’est justement parce que son nom est une traduction possible de pharmakon dans son versant positif. Dans son versant négatif, l’antidote peut devenir un poison, notamment pour celui qui voudrait l’utiliser de façon magique et idiote en lui intimant l’ordre de tout corriger d’un coup. Évidemment, c’est ce qu’il ne faut pas faire, car Antidote fait bien sûr parfois des erreurs d’interprétation du texte, surtout quand je fais des phrases compliquées. Cela peut sembler évident, mais j’ai tellement vu des élèves et étudiants déléguer ce travail d’analyse à leurs outils qu’il est préférable de le signaler. Il faut justement faire des choix assumés quand le logiciel vous signale une erreur ou bien souvent une impropriété de langage.

Mes éditeurs m’ont plusieurs fois demandé d’utiliser un logiciel de ce type, notamment pour corriger également les problématiques de style. Et il faut reconnaître que l’outil est pratique à plus d’un titre, quel que soit le type de document que vous rédigez. J’ai par exemple une tendance à vouloir trop nuancer et donc j’abuse des phrases négatives qui sont bien souvent peu lisibles et peu convaincantes. Il faut généralement éviter de mettre trop de négatives dans un article scientifique sauf s’il s’agit d’effectuer un constat qui implique une négation. Même chose dans des ouvrages théoriques ou des romans, car cela nuit au cheminement et à l’argumentation. Antidote vous les signale et c’est à vous de jouer pour la réécriture.
La réécriture, c’est justement l’atout du logiciel en tant que pharmakon, car il s’agit bien d’une relation homme-machine qui se doit d’être équilibrée pour que ça fonctionne. J’ai progressé depuis dans l’utilisation du logiciel de cette manière, mais aussi dans ma manière d’écrire, car il s’agit de réinterroger ses propres réflexes et habitudes d’écritures que démontrent notamment les répétitions. On a souvent des tics de langage à l’écrit. Le logiciel sert ici de révélateur, si bien que vous allez sans doute faire évoluer vos pratiques d’écriture au fil des mois en prenant conscience des habitudes qui ne sont pas toujours opérationnelles. Dans tous les cas, logiciel ou pas, on est obligé quand on écrit- ce fut particulièrement le cas pour moi dans ma thèse- de se remettre en cause et de réinterroger les règles d’écriture, de style, de ponctuation et d’orthographe. Pendant plusieurs mois, je ne savais plus écrire et je ne sais pas si c’est l’influence de Foucault, mais dans la rédaction, je me demandais pourquoi mettre une virgule à tel endroit, bref je remettais tout en cause. Je ne sais si je suis guéri depuis, mais une seule chose est certaine, c’est qu’on ne sait jamais véritablement écrire. D’ailleurs, un éminent membre de la 71ème section m’avait conseillé de suivre des cours d’écriture, car il avait dû corriger un de mes articles avant publication. Le fond était bon, mais pas la forme selon lui. J’ai eu du mal à encaisser sur le coup, mais depuis je garde ce mail comme un collector. Désormais, j’espère que je saurais peut-être un jour mieux écrire. À force d’accumuler des kilomètres de texte. L’écriture est un long apprentissage qui nécessite entraînement avec l’espoir de devenir meilleur, même si ce n’est pas toujours gagné. L’idéal serait donc que le logiciel vous accompagne au point où vous n’en aurez plus besoin car vous aurez intégré toutes les subtilités du langage et vous n’aurez plus que par plaisir à consulter le Littré, le Gaffiot voire le Robert. Du coup, on rentrerait dans le cas où il n’y aurait plus de prolétarisation de l’individu vis à vis de la machine, mais une indépendance grandissante vis à vis de l’outil via un transfert de connaissances qui se ferait au fur et à mesure. Une déprolétarisation en quelque sorte.
Antidote éclaire quelque peu cette pratique, même si je ne suis pas allé jusqu’à utiliser toutes les possibilités de dénombrement et d’analyse. De même, j’attends encore quelques années avant de tenter une analyse automatique avec extraction de concepts de tout ce que j’ai pu écrire. Je pourrais le faire aisément en utilisant notamment IraMuteq.
Pour le moment, j’utilise la version 8.5. Apparemment une version 9 arrive. Intéressant également, le module optionnel en anglais qui pourrait me tenter. Car évidemment pour moi, l’écriture en anglais est pire qu’en français, puisque je m’interroge sur le bien fondé de la moindre phrase dès que j’écris en anglais. Toutefois, l’anglais induit une simplification qui peut s’avérer pratique. J’aimerais bien avoir quelques avis sur la version anglaise avant de me lancer sur cette add-on. Pour rappel, Antidote est réalisé par la société druide à Montréal, ce qui explique par moment que logiciel nous signale nos gallicismes !
Rien n’empêche de continuer à utiliser d’autres outils même si le logiciel contient plusieurs dictionnaires qui sont pratiques pour comprendre certaines règles sans aller devoir se reporter au Grévisse.
En tout cas, un outil un peu onéreux – j’ai longtemps attendu avant de me lancer- mais intéressant à intégrer à sa pharmacie personnelle.
 

Enquête en cours pour le bouillon !

Non, ce n’est pas le titre d’un polar ou d’une nouvelle aventure du poulpe mais une enquête en ligne. Je fais partie avec une joyeuse bande de veilleurs de l’équipe du bouillon menée par notre Silvère international.
Je relaie donc le message collectif pour tous ceux qui reçoivent cette source d’information.
Le 29 septembre 2009 ce fut la naissance du Bouillon des Bibliobsédés, agrégation et redistribution de la veille d’une vingtaine de volontaires autour des thématiques de l’information documentation grâce à l’indispensable Lully.
Voilà maintenant un an que cette veille partagée fonctionne, il est temps de faire un bilan. Nous vous proposons donc de répondre à cette enquête en ligne destinée aux utilisateurs du bouillon et/ou du nectar. Elle a été réalisée de manière collaborative par les veilleurs grâce à l’excellent logiciel libre Limesurvey mis à disposition par Olivier Le Deuff,[ben oui, c’est moi] merci à lui.
Nous avons souhaité cette enquête anonyme, pas trop longue et largement ouverte à vos suggestions, n’hésitez pas à vous y exprimer et soyez sûr que toutes vos remarques seront lues par les veilleurs ! Nous vous proposerons bien entendu tous les résultats dans les prochaines semaines. Merci d’avance pour vos réponses et n’hésitez pas à disséminer largement cette enquête pour que nous ayons le plus de réponses possibles !

Intervention groupe de secteur Saint Brieuc

Voici le support sur lequel je me suis appuyé lors de mon intervention pour les professeurs-documentalistes du groupe de secteur de Saint-Brieuc.

En ce qui concerne les folksonomies, je me suis appuyé sur ce document :
http://www.slideshare.net/oledeuff/folkso
Je remercie encore l’équipe pour l’accueil chaleureux.

Britannica pour les blogueurs

Les blogueurs ont quelques privilèges et le dernier en date c’est de pouvoir accéder gratuitement à l’encyclopédie britannica. Techcrunch a relayé l’information et je me suis empressé de m’inscrire. D’autres en parlent ici aussi.
Je me suis inscrit hier et je viens de recevoir mes codes. Je ne sais pas s’il y en aura pour tout le monde mais je ne me suis pas fait prier. Voilà en tout cas le moyen de pouvoir consulter des notices intéressantes surtout quand wikipédia ne répond pas aux attentes.
L’encyclopédie met également des widgets pour les blogueurs afin d’inclure des notices en ligne.
Désormais j’attends qu’Universalis en fasse autant.
En test, je mets le lien vers Vannevar Bush que les lecteurs du blog peuvent consulter gratuitement.
Vannevar Bush
Un exemple de widget :

Zotero compatible

C’est désormais fait ! Le guide des égarés et cactus acide sont compatibles avec l’extension pour firefox Zotero. Zotero ne cesse de s’améliorer et constitue un outil précieux pour réaliser des biblographies de manière efficace et non fastidieuse.
Afin de rendre compatibles mes sites qui fonctionnent sous wordpress, j’ai simplement ajouté un plugin. J’ai ainsi ajouté Coins plugin qui une fois activé vous permet d’ajouter les éléments bibliographiques de tous les billets. Zotero devient d’autant plus indispensable selon moi que des billets de blogs méritent de figurer dans des travaux scientifiques notamment lorsque les blogueurs sont scientifiques eux-mêmes.
J’ai trouvé les éléments qui m’intéressaient sur ce blog car il est vrai que je cherchais depuis quelques temps un moyen de rendre compatibles mes blogs avec Zotéro.
Ce qui serait bien, c’est que les autres blogs en fassent désormais autant et notamment les plateformes de blogs car les métadonnées semblent revenir en force. Je suppose même que dans les mois à venir, les métadonnées autant sémantiques que sociales devraient se développer pour notre plus grand avantage en ce qui concerne l’évaluation de l’information et sa gestion. Zotero permet d’exporter vos données dans de multiples formats. J’utilise ainsi souvent l’export via bibtex qui permet de transférer mes trouvailles sur des sites comme citeulike. Pour ma part, je l’utilise avec ma base personnelle qui repose sur wikindx.
En effet si urfist info en parleet que Michel Roland nous en parle souvent ici...force est de constater que leurs blogs ne sont pas encore compatibles…Un comble ! D’autant que si Olivier Ertzscheid partage l’avis d’Henry Jenkins comme quoi les universitaires devraient bloguer…je constate que tous deux ne sont pas non plus Zotéro compatibles…un scandale!

Voici la bibliographie générée par Zotéro selon le modèle MLA pour ce billet :

Le Deuff, Olivier. “Zotero compatible.” Le guide des égarés. 11 Avr 2008. 11 Avr 2008 <http://www.guidedesegares.info/2008/04/11/zotero-compatible/>.

 

 

Peut-on trouver mieux que WordPress ?

Je suis utilisateur de wordpress depuis plusieurs mois. J’ai même passé l’essentiel de mes projets sous cette plateforme du guide des égarés en passant par cactus acide et le projet historiae.
J’ai testé d’autres plateformes comme spip, joomla et dotclear et si elles ont toutes les avantages et leurs particularités…je dois avouer que WordPress les surpasse de beaucoup selon moi  à la fois par sa simplicité d’usage mais aussi ses possiblités d’adaptation et de transformation à tous types de projets depuis le blog individuel au projet collaboratif. Bref ce n’est pas le projet pédagogique ou collaboratif qui doit s’adapter mais l’inverse, et wordpress répond parfaitement à mes exigences.
Je n’ai pas l’habitude d’être pro-technologie mais je me demande si désormais une technologie de publication sur Internet n’est pas en train d’atteindre un niveau de supériorité qui mériterait d’être étudié. WordPress et sa solution wordpress.com pour les non initiés ou ceux qui ne veulent pas trop mettre les mains dans le « cambouis » a encore de beaux jours, d’autant que wordpress permet de se greffer facilement à d’autres applications sans être pour autant dans une logique de langage isolé tels les squelettes spip dont il faut bien dire qu’ils sont lourds, pénibles et plus tellement dans le coup avec ces sytèmes de boucles auxquels je n’ai jamais eu envie de m’y mettre. WordPress me semble avoir atteint un niveau de quasi métastabilité et je suis assez séduit par la version 2.5 que je trouve plus agréable et plus intuitive malgré des critiques contraires.
La force de WordPress c’est de pouvoir mêler des fonctions avancées permettant de réaliser des sites avec des templates de style magasine comme celui que j’ai mis en place sur cactus acide et de pouvoir travailler à plusieurs sans que les rédacteurs ne soient contraints de devoir passer un temps plus ou moins d’adaptation à la plateforme.
Je songe que dans beaucoup de cas de figures, la plateforme permet de gérer un site professionnel voire institutionnel de manière aisée en gardant une esthétique et une ergonomie professionnelle. Au niveau collectif, wordpress dipose aussi d’une solution qui permet d’héberger une centaine de blogs différents ce qui peut être intéressant pour des institutions scolaires. Reste à savoir si wordpress tentera de lancer une solution plus performante qu’elgg. Il semble que la société automattic ait même les moyens de le transformer même en réseau social.
J’apprécie désormais tellement wordpress que je viens de créer le blog du GR-CDI (voir message précédent) avec ce support.

Google docs & doc syncer et Panorama des littératies.

Je teste la fonction d’inclusion des présentations du module de google docs dans un blog. Je la cherchais hier cette fonction, je découvre qu’elle est opérationnelle ce matin après lecture d’un billet de techcrunch
Désormais, Google va concurrencer slideshare et ce n’est pas rien pour moi qui doit désormais optimiser mon temps pour cause de thèse à faire avancer.
En effet, j’utilise désormais un outil fort précieux, doc syncer qui me permet de synchroniser les documents que j’utilise sur mon pc avec google docs. Cela permet des sauvegardes sécurisées en cas de problème de disque dur, et cela permet aussi de les rendre publics ou de les partager en un clic.
Finalement le disque dur ne disparait de nos pc, contrairement à ce que craignait Olivier Ertzscheid dans le Monde, mais on va plutôt vers des systèmes hybrides avec des capacités de stockages accrues inline et online. Voilà qui implique malgré tout une bonne gestion de la ligne de partage entre documents privés, documents à diffuser en accès restreint et documents à diffuser tout public. Voilà sans doute pourquoi, un ouvrage vient de sortir sur une autre littératie : la bit literacy de Mark Hurst qui est commentée ici.
La querelle nominaliste continue donc, et j’userai de mon rasoir d’Ockham à nouveau.

Article Deschamps, Knol, portails netvibes :Diigo express 12/14/2007

L_avenir_des_favoris_a_l_ere_du_web_implicite.pdf (Objet application/pdf)

Article de Christophe Deschamps sur la recherche folksonomique. J’aime bien le terme de folksonaute.

Quid et Knol sont dans un bateau.. – Bloc-notes de Jean-Michel Salaün

Jean Michel Salaun s’interroge également sur Knol et mentionne l’article de Didier Durand sur le sujet.
En clair, les experts seront-ils cupides?

DocSyncer – Synchronize Your Microsoft Office Documents with Your Google Docs Account

Pas mal cette application qui permet d’user de ces documents microsoft sur Google docs.
Cela pourrait devenir fort utile en ce qui me concerne. L’application est encore en bêta privée mais faites une demande et vous pourrez tester vous mêmes le service.

Scottish Library and Information Council (SLIC) < SLAINTE

– a Netvibes Universe

Autre portail réalisé sur netvibes et qui concerne la veille économique et financière

Horizon Sémiologie: toutes les sémiologies

– a Netvibes Universe

Page intéressante d’autant qu’elle peut servir de modèle pour des formations.

appel_carto_20_final.pdf (Objet application/pdf)

L’appel à communication du colloque carto 2.0.

Google Knol: Un concurrent de Wikipedia ?

Il est vrai que Google a désormais les moyens de se payer des experts. Mais un tel système peut-il f fonctionner?

Adscriptor: Facebook ouvre l’architecture de sa plateforme

Facebook s’ouvre dans une logique concurrentielle en cherchant à rester maître malgré tout du sytème à l’instar de Google.

panorama20.pdf (Objet application/pdf)

Travail synthétique sur les outils du web 2.0 pouvant être utilisés en éducation.
On n’évite pas néanmoins le défaut récurrent chez les consultants d’une éducation 2.0 et de la logique de l’outil et de son usage qui est derrière.
En clair, il faut rajouter du Stiegler pour que ces hypomnemata deviennent des milieux associés.