Folksonomies, Alternatives à Google, yourminis et oeuvres en classe

Statistiques sur les folksonomies [graphique] | Guitef

  • Et oui il faut convaincre à la pratique de la folksonomie.
    C'est ce que je vais essayer de faire au travers de formations cette année.
    L'article de Guitef est intéressant et montre un accroissement de la pratique.
    Il note aussi que cette pratique est plus fréquente suivant le niveau des revenus.
    Cela s'explique sans doute de manière culturelle. En effet les cadres sont plus amenés à partager et à manipuler de l'information que le travailleur qui n'use de son pc et de l'internet que pour des aspects de loisir.


Les 100 alternatives au Dieu Google

  • Un lien intéressant qui nous proposent le top 100 des alternatives à Google.
    Il vous faudra en essayer certains. Je note quand même que ces alternatives ne sont pas des moteurs du même type puisque s'y cotoient dans la liste de réelles alternatives comme exalead et des méthodes de recherche différentes comme les signet sociaux avec deli.cio.us.
    Malgré tout moi même je reste un grand utilisateur de google. Mais les usages évoluent.
    L'essentiel de l'information pertinente que je trouve ne passe pas nécessairement par Google. Néanmoins l'index de Google étant large, j'utilise souvent Google comme raccourci pour accèder à une url. Si vous synchronisez votre  barre d'url avec Google sur firefox c'est un moyen pratique d'accèder directement à l'url que vous voulez. Google devient pour moi un moyen d'accès rapide plus qu'un moteur de recherche d'informations pertinentes.
    La personnalisation de la veille via les flux rss a ses effets. Néanmoins ma page d'accueil perso est sur googlee tout comme mon mail…Enfin je forme plutôt à Netvibes. A ce propos, un nouveau concurrent est sorti :
  • yourminis.com – web minis anywhere

    Le petit dernier des pages d'accueil personnalisés a le look . C'est tentant, mais information et esthétique font-ils bon ménage?
    Je vous laisse tester vous-même, l'information ayant été déjà beaucoup relayée et commentée sur le sujet. Pour certains c'est du buzz, pour d'autres de la redondance voire de l'infopollution. Enfin, si ça peut convaincre un plus large public à l'intérêt des pages d'accueil personnalisées, il faut bien en parler.

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Green Chameleon » How to be a KM Guru #2

  • Article qui explique comment devenir un gourou du Knowledge Management et qui critique le fait qu'il faille l'accompagner d'un discours simplifié, positif voire positiviste.
    Bref il vous faut être dans la lignée du happy end hollywoodien, faire court, être convaincant.
    En clair il vous faut être un publicitaire de vos idées tout simplement au prix d'un appauvrissement intellectuel évident.
    Vu comme ça , cela ne donne pas envie de devenir un gourou du KM. Mais c'est surtout une critique du fonctionnement américain en la matière.
    Enfin en Europe et en France, il n'y pas beaucoup de monde qui connait vraiment ce qu'est le KM.
    Sans doute, n'y-a-t-il pas assez de gourous…
    Pour ma part, je pense qu'il serait intéressant de débattre et d'analyser les évolutions des termes dans la profession.
    Knowledge manager, architécaires ou architectes de l'information?
    Pour ma part j'aime bien la dernière nomination mais je m'interroge sur la disparition du terme document ou documentation.. Pourtant les espaces documentaires demeurent c'est évident.

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Bulletin officiel du 1er février 2007

  • Les accords entre le ministère et les éditeurs pour un montant de 4 millions permettent une utilisation élargie des oeuvres en cours, en cours en ligne, aux sujets d'examen. Voici un extrait :
    Les dimensions des œuvres qui peuvent être numérisées et incorporées dans un travail pédagogique ou de recherche mis en ligne sont précisées pour chaque catégorie :
    pour les livres : 5 pages par travail pédagogique ou de recherche, sans coupure, avec reproduction en intégralité des œuvres des arts visuels qui y figurent, dans la limite maximum de 20 % de la pagination de l’ouvrage. Dans le cas particulier d’un manuel scolaire, l’extrait ne peut excéder 4 pages consécutives, par travail pédagogique ou de recherche, dans la limite de 5 % de la pagination de l’ouvrage par classe et par an ;
    pour la presse : deux articles d’une même parution sans excéder 10 % de la pagination ;
    pour les arts visuels :
    le nombre d’œuvres est limité à 20 œuvres par travail pédagogique ou de recherche mis en ligne. Toute reproduction ou représentation numérique de ces œuvres doit avoir sa définition limitée à 400 x 400 pixels et avoir une résolution de 72 DPI.
    Pour pouvoir bénéficier de l’accord conclu par le ministère, les établissements doivent veiller à ce que les moteurs de recherche de leur réseau permettent l’accès aux travaux pédagogiques ou de recherche, aux colloques, conférences ou séminaires ou aux cours et non un accès direct aux extraits d’œuvres protégées ou éléments isolés (par exemple une photographie, une peinture, une sculpture).
    La mise en ligne de thèses sur le réseau internet est admise en l’absence de toute utilisation commerciale et, le cas échéant, après accord de l’éditeur de la thèse. La mise en lignee devra utiliser un procédé empêchant celui qui consulte la thèse sur internet de télécharger les œuvres qui y sont incorporées.
    La reproduction numérique d’une œuvre doit faire l’objet d’une déclaration pour permettre d’identifier les œuvres ainsi reproduites. Cette déclaration consiste à compléter le formulaire mis en ligne à l’adresse suivante : http://www. cfcopies.com/declaration-enseignement


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