Une sélection de réactions des « non-concernés » :
Vous pouvez retrouver sur le site de Pascal Duplessis, sa réaction mais aussi celles d’Isabelle Fructus et d’agnès Montaigne et sans doute d’autres à venir.
– La mienne sur le guide des égarés et les commentaires.
– celles de Marie Pontoizeau (intéressant pour ceux qui passent le concours) et ses commentaires sur les réactions citées plus haut.
– Celle de Noël Uguen.
Le billet commun sur savoirscdi
Et sans doute d’autres encore notamment sur les listes de diffusion.
Christophe Bourseiller alias Francis Ceze dans PROFS de Patrick Schulmann. (1985)
Bonjour Olivier,
Merci pour ton petit clin d’oeil, juste une petite précision: on écrit Pontoizeau et non Pontoiseau…
A bientôt
Marie
Je vais corriger l’erreur de suite.
Quelque soit notre point de vue sur l’évolution de la documentation vers une discipline ou non, nous sommes par nature enseignants. Je me retrouve tout à fait dans le point de vue défendu par Agnes Montaigne sur le blog de Pascal Duplessis. » Je dois manquer d’intelligence mais je n’arrive pas à comprendre comment on peut penser une minute qu’une fonction comme la nôtre, qui est en contact constant avec les élèves, en charge de leur formation selon notre circulaire de mission et également dans les mots de notre inspection générale, n’est pas une fonction de professeur et ne peut donc être évaluée comme telle à l’IUFM. »
Evidemment que je suis remonté ! Tous ce temps passé à mettre en place des temps de formation auprès des élèves, fruit d’innombrables tractations pédagogiques avec les collègues disciplinaires ! Tout cela pour s’entendre dire que nous ne sommes pas concernés par l’organisation du travail de la classe, l’évaluation des élèves et la conception de notre enseignement !!! Une collègue CPE m’a dit une fois que j’avais une conception trop élevé de mon métier. Heureusement que les professeurs documentaliste « y croient » car ce n’est pas notre inspection qui risque de nous soutenir ! A chacun de montrer sur le terrain l’importance de la formation à la maîtrise de l’information. Ces attaques ne sont qu’une motivation de plus à développer chez les élèves une attitude critique vis à vis de l’information afin d’en faire des citoyens éclairés et que la démocratie ne soit pas (seulement) la tyrannie des imbéciles.