Désormais, vous pouvez avoir accès à mon travail de thèse.
Vous pouvez la télécharger en ligne ici.
A vos commentaires et critiques.
depuis 1999. culture numérique, digital humanities, information literacy, culture de l'information
Désormais, vous pouvez avoir accès à mon travail de thèse.
Vous pouvez la télécharger en ligne ici.
A vos commentaires et critiques.
Bonjour Mr Le Deuff,
Je suis entrain de lire votre thèse qui m’intéresse au plus au point. Je ne suis pas étonnée d’y voir surgir les noms de Foucault, Deuleuze, Derrida. Leurs concepts annonçaient l’empire des technologies informationnelles. Je suis surprise de ne pas y trouver les noms de Lyotard ou des représentants de l’Ecole de Francfort…Evacuez-vous cette idée d’un « devenir-machine » de l’homme, au mieux de l’aliénation de l’humanité de l’homme par la machine au regard desquelles une volonté politique d’alternative au système est nécessaire?
Y a-t-il à cette absence une raison particulière, ou, tout simplement, ne rentraient-ils pas dans le cadre de votre analyse? (déjà bien assez riche, j’en conviens).
Cordialement,
Maya
Merci pour votre commentaire.
J’ai du effectivement faire des choix théoriques et je n’ai retenu que les plus opérants à la construction. Je n’évacue pas totalement les références que vous citées, mais je m’appuie beaucoup sur Stiegler qui par ses travaux en constitue une poursuite un peu plus actuelle.
Je ne crois pas que la question soit celle du contrôle de l’homme sur la machine ou de celle de la machine sur l’homme. Je pense que la relation doit être celle d’une culture technnique voire celle d’une augmentation au sens d’Englebart.
La question du contrôle est avant tout celle du contrôle de soi.
Merci pour ces questions et au plaisir d’échanger.