Teemu Arina : de l’air frais venu de Finlande

Ce n’est pas la première fois que je mentionne Teemu Arina, mais je crois que ça vaut vraiment le coup d’en reparler à nouveau à l’heure où l’on compense à comprendre que les Finlandais ont pris quelques longueurs d’avance dans de nombreux domaines et notamment en matière d’éducation.
Agé de même pas 25 ans, Teemu Arina nous parle de changements sociaux et d’éducation à l’heure où en France la commission Rocard a fait le choix d’interroger des personnes qui ne feront certainement pas l’éducation de demain car ils sont des produits de l’éducation d’autrefois. Certains trouveront sans doute son ton et son attitude quelque peu provoquante mais qu’importe, il vous faut écouter sa communication qui recèle de bien intéressantes choses. Le titre est intéressant et finalement se démarque par rapport à ce que l’on pourrait croire a priori à propos des jeunes : escaping the age of speed : new paradigms of learning as impacted by social technologies.
Comme quoi la voix de la sagesse ne vient pas toujours des anciens…J’ai modestement tenté de reproduire une grande partie de ses propos sous forme de carte heuristique même si j’en ai oublié quelques uns que vous découvrirez en l’écoutant.
Décidément ces derniers temps, je suis bien tenté par l’exil à Helsinki. Surtout que ces « social objects » font écho chez moi aux hypomnemata foucaldiens à la sauce Stiegler.
Visualisation avec topicscape :

Visualisation avec Mind Manager

Les raisons du succès du sytème finlandais

A l’heure où les résultats Pisa sont de pire en pire pour le système français et que nous n’avons toujours pas bougé malgré les indications du précédent classement de 2003, je publie une carte quelque peu améliorée des raisons du succès du système scolaire finlandais. Ce n’est qu’une reprise de la carte que j’avais publiée suite à la lecture du rapport de l’OCDE sur le système scolaire finlandais il y a deux ans.
Il y a deux ans, j’avais l’impression de parler un peu dans le vide, mais désormais il semble que le climat soit un peu plus propice.

Diigo express. Finlande et leboncoin.fr

« Numéro un, les Finlandais ont vingt ans d’avance » – ENSEIGNEMENT

Va-t-on enfin réagir de manière efficace face à l’écroulement de notre système éducatif de plus en plus dépassé et tentant en vain de bricoler et de colmater les brèches ? Le modèle finlandais avec ses spécificités demeure selon moi un exemple à suivre.

Google sacre Leboncoin.fr nabab du Web local français

Comme quoi les internautes ne sont pas tous branchés web 2.0 si on en juge le succès du site leboncoin.fr, site certes pratique mais extrêmement laid et au design complètement dépassé.
Les règles de base du référencement sont simplement respectés notamment au niveau de la balise titre et l’offre apportée par les annonces des particuliers permet dans sa diversité d’apporter des visiteurs.

Technologies du Langage: Référencement: Google et son image

Jean Véronis est-il en voie de sanctification par Google ?
Il raconte cette étrangeté à cause de son excellent référencement sur google image à partir de la requête Google.
Voilà de quoi démentir parfois l’adage qui pourrait être celui des référenceurs professionnels : « vous ne viendrez pas chez nous par hasard »


VuFind: Home

Une nouvelle apllication à tester en bibliothèque…2.0


Didactique 2.0 : la pédagogie documentaire en action.

Je viens de lancer il y a une semaine un projet avec un groupe de troisièmes pas spécialement motivés initialement.
Il s’agit de les former à la culture de l’information et de la communication à partir d’un blog : historiae : les troisièmes mènent l’enquête.
Il s’agit aussi d’un pari car j’espère que les élèves se montreront capables de produire du contenu. Il conviendra néanmoins d’être modeste car les thèmes donnés sont volontairement complexes.
Je reproduis ici l’à Propos qui définit les objectifs :

Bienvenue sur le blog expérimental des troisièmes du collège de Ceaucé-Passais. (orne 61)

12 élèves sont chargés de mener l’enquête sur des mystères ou des questions historiques. Le but est de reproduire l’état de doute perpétuel qui existe face à l’information avec des thématiques où tous types de ressources existent sur Internet. Le travail d’évaluation de l’information est par conséquent primordial. Les élèves bénéficieront d’aides notamment sous la forme de cartes heuristiques (mind-mapping) qui les guideront dans leur méthodologie de recherche. Le but n’est pas de s’inscrire dans une démarche procédurale mais de culture de l’information et de la communication. Par conséquent le choix a été fait d’associer le travail de recherche d’informations à sa communication au sens le plus large.
Le travail s’effectue dans la cadre d’un projet sous la direction des enseignants-documentalistes Olivier Le Deuff et Yves Ghis.
J’ai volontairement intégré au blog un cours en ligne qui se trouve dans une rubrique méthodologie, ce qui permet aux élèves de s’y référer facilement. Ce cours peut-être facilement intégrer à d’autres blogs ou à tout type de projet car il n’est pas fait sous forme d’articles de blogs mais avec des cartes interactives via le logiciel mind manager. Je suis donc preneur de toutes critiques et je suis prêt à ouvrir un wiki s’il le faut pour apporter des améliorations. Comme d’habitude ce cours est mise à disposition de tous. En voici donc les trois parties :
La première partie concerne les premières démarches.
La seconde porte sur l’évaluation de l’information
La troisième sur la communication.
Les premiers billets des élèves devraient apparaitre bientôt et seront donc ouverts aux commentaires.
Affaire à suivre donc…

Dokeo vs Moodle

Depuis quelques mois, je m’interroge. En effet Moodle semblait être désignée la plupart du temps comme la meilleure plateforme de cours en ligne ou de prolongement de présentiel.
Or, je pense désormais que l’application Dokéos la dépasse…et peut-être de beaucoup car la suite est plus riche et permet la construction de parcours de manière plus efficace. Vous pouvez regarder sur cette page, vous serez convaincu de l’étendue des possibilités. Vous pouvez même tester l’application sur le site test.
Le problème c’est que beaucoup d’université ont fait le choix moodle. Peut-on revenir en arrière? Ce n’est pas si sûr car il est impossible de reconvertir les cours déjà en ligne en totalité à mon avis. Voilà qui pose bien des problèmes informatiques lourds quand on contate les difficultés pour transférer ses cours d’une plateforme à une autre.
Dokéos me paraît donc plus riche en possibilités à tel point que j’envisage de l’installer pour moi-même et d’utiliser les modules d’exports scorm vers un moodle institutionnel si besoin.
Le choix d’une plateforme est un choix important qui vous lie pour des années. Il faut prendre en compte les possibilités d’évolution quitte à créer des applications facebook comme pour Spiral à Lyon.
Evidemment il ne suffit pas de changer de plateforme, outre les problèmes techniques il faut aussi former aux usages. Et sur ce point les problèmes demeurent.
sources : Le blog de David Touvet qui signalait la couche auteur sur Dokéos.
Je consulte également régulièrement sur ces questions : e-learning Bretagne, le blog d’Articulate dont les logiciels sont excellents mais onéreux, le blog de Novantura et quelques autres encore.

Les implications pédagogiques des TICE

Copie du message envoyé sur le site de l’université numérique. J’ai un peu extrapolé en dehors de l’unique sphère universitaire.

Il ne faudrait pas renverser le problème, les outils ne doivent pas dicter les nouveaux usages pédagogiques. Néanmoins, l’enjeu implique une redéfinition pédagogique totale des objectifs et des moyens. Le développement des TICE constitue une évolution à prendre en compte mais ce n’est pas la seule puisqu’il faut également prendre en compte les évolutions sociales, économiques, etc.

Il faut également songer aux mutations liées aux réseaux sociaux et aux web 2.0 et à l’affaiblissement des autorités traditionnelles qui s’accélère pour laisser place à la popularité et aux stratégies d’influence. Cette situation rend de plus en plus le cours magistral classique sans support de cours quasi caduque.

Les NTIC permettent d’envisager de nouveaux types de relations pédagogiques mêlant les différents scénarios depuis le présentiel jusqu’au tout à distance. Que ce soit en primaire, au secondaire ou à l’Université, la relation maître-élève demeure primordiale même si cette dernière n’est pas exclusivement réalisée en présence directe.

Il faut dès lors utiliser les NTIC pour parvenir à :

Mieux individualiser la pédagogie grâce à des constructions de parcours évolutifs : la granularité de l’élément pédagogique facilitant les divers agencements.

Mieux percevoir les traces et trajets pédagogiques des apprenants ce qui permet à l’enseignant de faire évoluer son cours et de remédier plus précisément aux difficultés de l’élève.

Diminuer la part de magistral, grâce à des pans de cours en ligne, pour se consacrer à l’explication voire à l’expérimentation.

Renforcer la motivation des apprenants via les systèmes de portfolio qui constituent des traces des réalisations et qui impliquent une progression réelle détachée du simple objectif de performance des évaluations notées.

Faciliter la mutualisation des travaux des enseignants et les diverses mises en commun.

Mettre en place une intelligence au moins collaborative si ce n’est collective pour construire à plusieurs des projets ambitieux.

Pour cela, il faut sans doute sortir des visions disciplinaires actuelles et des cloisonnements qu’elles engendrent. Le projet didactique et pédagogique doit être dès lors revu et le dualisme dominant maths-français du secondaire sérieusement remis en cause. L’ambition est la transmission d’une véritable culture de l’information et de la communication qui permette à chaque élève de disposer un esprit critique qui lui permette de sélectionner et de synthétiser l’information mais également de pouvoir communiquer efficacement en tant que citoyen mais également professionnel.

Débranche !

Non ce billet n’est pas un hommage à la chanson de France Gall mais une réaction envoyée sur la liste cdidoc à propos de l’émission ripostes où une documentaliste signalait les propos d’Alain Finkielfraut qui pensait qu’il fallait mieux débrancher les élèves car ils avaient un esprit critique insuffisant. Elle notait également le fait que certains critiquaient les efforts trop nettement employés pour aider les 15% en difficulté.

Je crois que les deux thèses ne sont pas si mauvaises. En effet, je plaide aussi assez souvent pour le « débranché » qui est fortement utile et oblige les élèves à lire, analyser et synthétiser. Par contre je suis pour l’usage réfléchi et efficace des TICE ce qui n’est pas toujours le cas. Notre système n’est pas parvenu encore à en tirer la pleine quintessence du fait du manque de maîtrise technique des outils des enseignants mais aussi par manque de réflexion pédagogique quant à leurs usages. Dans les deux cas (débranché ou branché), il faut qu’il y ait une réelle stratégie pédagogique derrière. De plus, si ce n’est pas l’Ecole qui forme à l’esprit critique sur Internet, qui le fera. Plaider pour un débranchage absolu est donc une hypocrisie totale car nos élèves se connecteront chez eux.

Quant aux efforts dépensés sur les 15%, il faut quand même constater que l’on dépense beaucoup d’énergie en pure perte en heure de soutien, en colles, punitions, réunion avec les parents, etc. Au bout du compte, les élèves moyens et les meilleurs en pâtissent car leur progression est freinée. Sans compter, que les enseignants s’épuisent en cours avec les plus récalcitrants en passant trop de temps à tenter de se faire écouter. La solution consiste à imaginer un collège multiple dans la lignée du collège unique mais prenant en compte les évolutions. Il convient donc de créer plus de structures de style segpa pour faire progresser les élèves en difficulté et qui ne ralentiraient pas dès lors les autres classes. Cela nécessite donc des moyens supplémentaires et des enseignants formés dans ce but. Très souvent lors des heures de soutien, les enseignants ne parviennent guère à faire évoluer ces élèves car il faut utiliser des méthodes différentes. Pour parvenir à ce système, il est à mon avis urgent d’établir un examen en fin de cm2 ce qui motiverait les élèves de primaire et qui permettrait en juin de préparer la rentrée suivante au collège et de connaître les élèves devant être orientés en section spéciale. L’examen rendrait de fait le refus de l’orientation par les parents impossible. L’égalité républicaine doit aider l’élève à tirer le maximum de son potentiel, cela est valable pour l’ensemble des élèves.
Ensuite, selon moi, il faudrait réduire les cours à 45 minutes (dans mon collège, ils sont actuellement de 50 minutes ce qui n’est pas l’idéal à mon avis) ce qui permettrait de dégager du temps pour des heures à effectif réduit qui ne serait pas du soutien mais du défi et qui s’adresserait à l’ensemble des élèves afin de les faire progresser ce qui se fait déjà chez nos collègues finlandais.

 

update du 28/10/2007 : l’article d’affordance à ce sujet.

Arrêt sur images, mythe du complot et éducation à l’image

L’équipe d’arrêt sur images lance donc son pari de prolonger son existence sur Internet. Tout le monde convenait pourtant de sa nécessité, à l’exception de quelques politiques qui ne la connaissaient pas, pourtant elle a du quitter le système public cathodique. L’émission tente sa chance avec arretsurimage.net
Seulement, Daniel Schneidermann parviendra-t-il a trouver un modèle économique fiable?
IL faut lui souhaiter…cependant j’ai déjà des doutes notamment sur la qualité future du site qui sera en place. Et ce doute a été hélas renforcé par le dernier message reçu par les signataires de la pétition. D’aucuns ont pris le message pour du spam, d’autres comme moi l’ont trouvé médiocres voire racoleur. En voici un extrait :
 » Le saviez-vous ? Deux anciens dirigeants de TF1, Patrick Le Lay et Etienne Mougeotte, comparaîtront bientôt devant le tribunal correctionnel d’Alès (Gard), pour violation et recel du secret de l’instruction.
Le Droit de savoir (TF1) avait filmé, et diffusé, les aveux d’assassins présumés, devant les gendarmes.
Même TF1 ne peut pas tout se permettre !
Le saviez-vous ? La direction de l’AFP a dû modifier un titre de dépêche sur pression du cabinet de Xavier Darcos, ministre de l’Education. Il s’était un peu trop avancé sur une éventuelle réforme du bac ? Qu’à cela ne tienne, l’AFP change son titre.
Le saviez-vous ? Non.
Vous ne le saviez pas, parce que les medias détestent parler des dérapages des medias.
Voilà pourquoi nous avons décidé de recréer Arrêt sur images sur le Net : pour que vous sachiez comment les medias vous informent… ou ne vous informent pas. »
La une du site actuel conforte également cette désagréable impression. Arrêt sur sur images montre une série d’hommes clefs de l’univers télévisuel avec cette phrase en dessous :
« Ils ne veulent pas d’arrêt sur images »
Finalement, on n’est n’y plus ni moins dans le mythe du complot tel que nous le faisait craindre le message précédent. Cela me gêne à l’heure où je travaille justement sur le mythe du complot et où je crains des problèmes informationnels et communicationnels de cet ordre avec la remise en cause des autorités et la diffusion virale de tous types d’informations. Je ne voudrais pas qu’esprit critique et d’analyse soit obligatoirement lié à une dénonciation totale voire paranoïaque. La critique doit savoir être aussi positive. Je pensais qu' »arrêt sur images » pouvait garantir cet équilibre. Je crains qu’hélas ce ne soit pas le cas.
Que Daniel Schneidermann se prenne au final pour Fox Mulder, pourquoi pas s’il y a une Diana Scully pour contrebalancer la tendance. Seulement il semble que la Scully de Schneidermann soit Elisabeth Lévy dont les propos sont rarement pertinents.
Conclusion :
Je ne sais pas si je vais m’abonner d’une part.
D’autre part, l’éducation aux médias (medialiteracy) et aux images va devoir trouver encore d’autres pistes.
Voilà c’était un décryptage d’arretsurimage.net., les rôles sont renversés.
Il va sans doute falloir aussi que Schneidermann comprenne qu’il a véritablement changé de médias et que les règles d’usage sont différentes de la sphère télévisuelle : sa légitimité doit donc être entièrement reconstituée notamment sur la blogosphère.

Evaluations, triche et compétitions

Intéressante réflexion sur la triche sur le blog de François Guité.
Il note que les enseignants ont tendance à aider ou remonter les notes pour éviter quelques désagréments ce qui fait souvent ainsi plaisir aux élèves, à leurs parents mais aussi à la direction. Ce problème de l’évaluation démontre l’insuffisance d’un système qui veut évaluer mais ne veut pas en assumer les conséquences. Sans compter que les modes d’évaluation pourraient être plus diversifiés et plus originaux.
Les systèmes par compétences constituent souvent un moyen de donner une impression de sérieux voire de précision scientifique. Or bien souvent que ce soit dans le B2I ou dans les évaluations de début d’année, c’est plutôt le laxisme qui prédomine.
Certains pays ont choisi d’abandonner l’évaluation par note. C’est une solution mais ce serait un leurre de faire croire que l’évaluation disparait pour autant.
La solution consisterait à coupler l’évaluation et la faculté de l’apprenant à progresser. Par conséquent les évaluations devraient mieux utiliser la diversité des questions y compris en usant les QCM mais aussi en rétablissant la pratique d’examens par niveau de classes par trimestre avec des échelles de progressions fines qui permettraient à l’élève d’en savoir un peu plus sur lui même. L’inquiétude est toujours aussi liée à la crainte de la compétition qui pourrait en être accentuée. Il faudrait surtout envisager le passage de la compétition à la motivation personnelle : être meilleur que l’autre n’est finalement guère intéressant, avoir progressé personnellement l’est bien plus. D’où la pratique du défi, plutôt que du soutien qui pourrait être mise en place. Mais j’y reviendrai prochainement.

Civisme et autres réflexions


Un billet qui fait le point sur des élements que j'ai trouvé entre autres marquants. J'hésite toujours à commenter ou signaler de l'information retrouvée ailleurs car d'autres le font mieux que moi sans compter que cela participe à la redondance de l'information ainsi qu'à son infopollution sans compter que selon  moi nous rentrons dans un espace de commentaires infinis où on ne cesse de s'entregloser. J'y reviendrai plus en détails dans un autre billet. Je recontre également quelques problèmes avec les flux rss, Joomla ne me permettant que de gérer ceux de la page d'accueil où je ne mets que rarement l'intégralité de l'article. Cela est d'autant gênant que je souhaite  tester un service qui  permet  que les flux soient lus à voix haute par une voix automatique ce qui est pratique pour les personnes mal-voyantes.Add to My vFruits


Proposition pleine de civisme /// Proposal full with good citizenship – Buzz is media

  • Une vidéo certes en anglais qui démontre les risques de trop en dire sur son blog.
    Evidemment cela s'adresse notamment aux jeunes générations, notamment de skyblogueurs.
    J'ai moi-même trouvé parfois des photos douteuses et des informations sur les skyblogs de mes élèves.
    Je pense qu'il s'agit d'enseigner la distance critique et d"éviter l'instantanéité que peut renforcer le blog.
    La réflexion est donc utile même si parfois l'envie de réagir au plus vite est tentante.

     

Edtags.org: Bookmarks for the field of education

  • Un partage de signets avec vote pour le domaine éducatif. Je m'interroge toujours sur l'opportunité de mêler système de vote et de popularité pour les domaines éducatifs et des sciences. Il me semble qu'il y a une forte différence entre la pertinence et la validité scientifique d'une information et sa popularité qui repose sur de l'instantané et de l'irréflèchi. Il y a heureusement d'autres pistes pour la sélection des ressources numériques pédagogiques.
     

Deux nouveaux sites de vidéos d'apprentissage… – Emob le blog elearning, tutoriaux vidéo, screencasting, screencast, e-learning, e-formation, podcast, ajax, podcasting vidéo

  • L'éducation aux médias passent peut-être aussi par l'éducation par les médias.
    Pourquoi ne pas se lancer dans des micromodules de formations en vidéo, voire lancer des projets de ce type avec élèves et étudiants.
    Il est possible d'imaginer un cahier des charges précis nécessitant la réalisation d'une séquence filmée comme pièce à évaluer.

     

Le Web des cons : insultes et menaces de mort | Guitef

  • Intéressant cet article sur l'excellent blog de Guitef qui montre que la violence envers les blogueurs se manifestent dans les commentaires et au-delà.
  • "L’escalade de la violence en ligne (cyberbullying) ne date pas d’hier, mais un triste cap vient d’être franchi avec des menaces de mort proférées à l’endroit d’une blogueuse respectable."